vendredi 13 mars 2009

JEREMY JAY Slow Dance


J'ai entendu ce morceau sur Radio Sauvagine à Bordeaux, Slow Dance, et j'ai pensé d'abord que c'était un vieux titre d'un groupe New-yorkais des années 80, style un peu Talking Heads! Et puis j'ai écouté cet album en peignant et j'accroche (humour de peintre non?) vraiment!
C'est un style très proche d'une bande son parfaite pour un bon film jeune et moderne! Cet artiste n'est pas un chanteur mais son disque est vraiment riche alors comme le garçon va se produire un peu partout allez le voir!
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Last year saw the release of 2 EPs and a full length. We are barely into 2009 and he has yet another full length, titled Slow Dance, out on K Records. Jeremy's vintage inspired rock n roll may not be anything new, his lyrics aren't the most inspiring and most of the time it sounds like he's using a karaoke microphone. However, Jeremy pulls off some of the coolest sounding music around. The distant and echoed "karaoke" sound turns into into a remote vision that is one part cinema and one part daydream.
Jeremy Jay is an artist and not a real singer. Following a series of 7" singles, he released his debut LP, A Place Where We Could Go on K in Spring 2008 to rave reviews.Currently, he splits his time between living in Paris and Los Angeles, the dream cities of the French New Wave and Hollywood. Similar to films, Jeremy identifies with the visual stories of life and love, and touches on everything human; he is always in the process of writing and recording, playing the guitar and taking long walks. Jeremy is getting acquainted to living in Paris, but still draws much of his inspiration from the films of iconic American teen auteur John Hughes.With his new single "Love Everlasting" and full-length Slow Dance (both released by K), Jeremy has created his own brand of urgent pop music that fits perfect in the house parties and punk rock clubs that he prefers to play. In 2009 Jeremy will be touring Europe, the USA, Australia, New Zealand and the UK so you have to go oh yes!

mardi 10 mars 2009

RED LIGHT COMPANY fine fascination









J'adore les pochettes de ce nouveau groupe anglais. Leur musique énergique et mélodique est très sympa du bon rock indie!
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I love the sleeves of this new English band. it is energetic and melodic.
It is a quiet good rock band!

Michael Bevilacqua













J'ai eu l'occasion de rencontrer ce peintre à New-York. Il était exposé par la galerie GERIN LOPEZ Gallery. J'adore son travail. Il peint dans un univers lié à la rock music avec une dynamique et un style entre Basquiat et David Hockney. J'espère vous avoir fait découvrir un peintre en devenir.


I was very pleased to meet this painter in New York. He was exposed by gallery GERIN LOPEZ Gallery. I love its work. He paints in a universe related to the rock music with a dynamics and a style between Basquiat and David Hockney. I hope to have make to you discover a very new important painter!

Je repense à ce que j'ai ressentis à l'issue de cette rencontre. J’ai d’abord été impressionné par la liberté de ton mais aussi de découvrir des codes et un univers si proche du mien que c’était troublant.
Et puis j’ai décidé de me remettre en questions de me poser des questions pour continuer la peinture.
Je peins une représentation de ma vie, au plus près du réel. En dehors des crises de manque de créativité, ma peinture est maintenant bien maîtrisée. Cependant, le processus de création est un mystère autant que les moments de passage à vide.
Je cherche à faire entrer dans le cadre de mon cinéma personnel, les contextes et les énergies qui, en se rencontrant, font la matière. Je deviens une sorte d’organisme-machine dont la fonction première, c’est de transformer ce qui le traverse en tableau. Peindre, c’est une fonction vitale non?
J'essaye d'être un peintre singulier.
Comment je fonctionne ?
Dans les relations avec mes proches, avec la mode, la sexualité, l’amour, la mémoire, l’environnement urbain, la vie en société, les platines , les vinyles, le dandysme année 70, mon indépendance, je trouve des histoires à conter.
Je suis hanté par une série de toiles réalisées après des voyages, de façon caricaturale, mais aussi par des images pleines de superficialité. Comme une sorte de bonheur suspendu qui, dans l’instant, passe rapidement, léger, insouciant et qui, au fil du temps, prend de plus en plus de profondeur complexe dans la mémoire. Tout, alors, semble partir de là pour y passer et repasser.
Le vide est palpable dans certains flottements relationnels, des pauses, ces petits riens qui ne servent qu’à se donner l’impression de « faire quelque chose », une oisiveté erratique, la manière anxieuse de se scruter dans la glace, sans aménité. Le modèle, attachement, détachement. L’amant reste le modèle, il reste vivant dans mon univers de peintre.
En même temps, à plusieurs moments, je parle de scènes où d’autres personnes, ayant servi de modèles, se confrontent aux peintures qui les représentent Cela les attachent à la singularité du peintre par le regard mystérieux qu’il pose sur eux. Ce qu’il crée à partir d’eux-mêmes et de leur cadre de vie intime, c’est forcément fascinant.
J’ai le sentiment de suivre une trajectoire, influencée par les éléments du contexte, de mes lectures, de mes rencontres en toute liberté.


lundi 9 mars 2009

CRANES ''Cranes''


Allez, laissez vous aimer par Cranes. Soit on accroche à la voix de la chanteuse Alison Shaw, soit on déteste. En effet sa voix de lolita peut irriter, ou au contraire faire tomber des flocons de neige chez soi. Derrière ce timbre particulier, une petite musique électro trip hop arrive timidement et enveloppe les petites pirouettes pop vocales de la créature céleste ( c'est un des groupes préféré de Robert SMITH, mais oui le gros de THE CURE qui est toujours aussi bon!). Côté style, on pense un peu au label 4AD et à de la noisy pop mais sans la noisy (sic). Lunaire comme sa pochette, les 11 titres de cet album (déjà le 9 ème - le groupe existe depuis 1986) est une magnifique bande-son pour vos dîners aux chandelles ou pour un réveil béat avant de partir affronter le travail. Une musique à écouter aussi au casque dans les transports en commun et ainsi flotter entre les conneries et vulgarités diverses qui pourrait percuter votre sens auditif. Au final une musique gentille et douce destinée aux rêveurs, aux nostalgiques, aux âmes perdues qui recherchent non pas le contact extérieur, mais un réconfort dans leur intimité. Si vous vous y reconnaissez, n'hésitez pas à plonger Cranes dans votre crâne d'"Amoureux Solitaire".
A écouter absolumment
Try it and buy it if you like it
It is a discrete return of the preferred band of Robert SMITH. The ninth disc of ''CRANES'' in activity since more than twenty years! In opening an instrumental court, Diorama, with the notes almost random and repetitive, simple and beautiful. Follow then of the compositions of a single softness, which return at the same time to majestic and cultissime " Wings of Joy" , the disc from which nobody really went back in 1991, like with " Future Songs" , the electronic coffee-table book of 2001. Electronics is besides in the middle of this new vintage 2008, sometimes minimal (Wires) or ambient (Sleepwalking). And in spite of this recrudescence of technology, each one knows that a title of CRANES is never completely ended if there does not exist a point of competition between electronics and guitars. It then suffices for Alison SHAW to pose its voice - this inimitable trademark on these delicious comptines for adults of which we will probably never weary ourselves, and of which High and Low, which concludes " Cranes" , is with Worlds, the most perfect example. This disc that they spent twenty years to be left is the synthesis of their career. At the same time very odd and very accessible. You do not stop in Diorama l' instrumental of the beginning, because after a progression continues High And low final, hardly less strange to appear normal. Homage hidden to Internet, three pieces starting with ' w' and scattered in the tracklist are small sharp and splendid jewels: Worlds, Wired and Wonderful things. To also note the presence; a piece sung in a strange French, Panorama a curious dramatic piece.

compteur