Je ressens l’hiver arrivant dans RAIN ON NYC.
Ce tableau est joué comme des guitares. Il garde un secret plein de mélancolie.
La pluie sur le sol, de son côté, offre un supplément de profondeur qui me permet de jouer davantage sur les impacts Ils sont boxés, et j’aime ça.
Les couleurs accentuent la sévérité naturelle de la lumière de la rue.
Le ciel était à l’automne,
mon âme à l’hiver.
J’attendais la neige.
J’espère que mon exposition aura quelque chose d’universel.
J’aimerai évoquer la fuite dans un monde citadin envahis de reflets et de lumières.
Une nouvelle exposition, c’est comme visiter une maison flambant neuve dont on connaît le propriétaire par cœur.
Ainsi, parfois, une ombre jetée au sol déstabilise. On se raccroche d’emblée à des repères, à une présence connue.
I feel the winter arriving in RAIN ONE NYC.
This picture is played like guitars. It keeps a secret full with melancholy.
The rain on the ground, on its side, offers a supplement of depth which enables me to more exploit the impacts of every drop
They are boxed, and I like that.
The colors accentuate the natural severity of the light of the street.
The sky was with the autumn,
my heart at the winter.
I was waiting for the snow.
I hope that my exposure will have something of universal.
I will like to evoke the escape in a town world invaded of reflections and lights.
A new exposure, it is as to visit a new house bright burning coal which one knows the owner by heart. Thus, sometimes, a shade thrown on the ground destabilizes. One hangs up again start with reference marks, with a known presence
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