mercredi 15 septembre 2010

HURTS Wonderful Life the video

HURTS Happiness



The music on this album Happiness, by a young Manchester band is to pop back to the dawn of time. There has perhaps never been about doing anything but burst into tears or listen to this couple, huddled against each other, while the world crumbles around us. The situation is ridiculous but think that indie rock has not existed, that The Smiths are dead in a car accident in 1983 and that all this malice and that intelligence had been forever lost to the music. Types have continued to burn guitars and synths worship, would have risen from abject haired metal bands to get drunk off in peace. The rest of the world have continued to argue that synthetic music are the future of popular music and not talk about it Hurts the same way. In this alternate reality, Happiness was welcomed as the 8th wonder of the world. The album is a monster back, a row sublime and horrible at the time of "emotional songs" where the romance is so sticky that it clings to you like a slug in heat. Happiness refers only to loss and lovers who split up, with tears and rain. The imaging group is icy, like a gorgeous black and white precipitate. Theo Hutchcraft, singer, and Adam Anderson, keyboard, seem straight from a catalog of bungling the Factory, stuck somewhere between a photograph of Orchestral Manoeuvres in the Dark (OMD for short) and Durutti Column. These guys are as smooth and boring as an old postcard and have about as much charisma and humor that the guys of Alphaville. But their songs are amazing and would do the most stupid whining clubbers if it had the idea to look at his feet before dancing.

so listen that music cry a lot and believe in tomorrow
links in comments
go to the concert and buy it if you like it but never forget to close down the TV!


La musique de cet album Happiness, par un jeune groupe de Manchester c'est de la pop venue de la nuit des temps. Il n’a peut-être jamais été question de faire autre chose que de fondre en larmes ou d’écouter ça en couple, serrés l’un contre l’autre, alors que le monde s’écroule autour de nous. La situation est ridicule mais imaginez que le rock indépendant n’ait pas existé, que The Smiths soient morts dans un accident de voiture en 1983 et que toute cette malice et cette intelligence aient à jamais été perdues pour la musique. Des types auraient continué de brûler des guitares et de vénérer les synthés, des chevelus abjects auraient monté des groupes métal pour se saoûler en paix. Le reste de la planète aurait continué à soutenir que les musiques synthétiques sont l’avenir des musiques populaires et on ne parlerait pas de Hurts de la même façon. Dans cette réalité alternative, Happiness aurait été accueilli comme la 8ème merveille du monde. L’album est une sorte de monstre rétro, une enfilade sublime et horrible à la fois de "chansons émotionnelles" où le romantisme est tellement poisseux qu’il s’accroche à vous comme une limace en rut. Happiness ne parle que de ruptures et d’amants qui se séparent, de larmes et de pluie battante. L’imagerie du groupe est glaciale, somptueuse comme un précipité de noir et blanc. Theo Hutchcraft, le chanteur, et Adam Anderson, le clavier, semblent tout droit venus d’un catalogue foireux de la Factory, coincés quelque part entre un cliché d’Orchestral Manœuvre In the Dark (OMD pour les intimes) et de Durutti Column. Ces types sont aussi lisses et chiants qu’une vieille carte postale et ont à peu près autant de charisme et d’humour que les mecs d’Alphaville. Mais leurs chansons sont épatantes et feraient chialer le plus débile des clubbers s’il lui venait l’idée de regarder ses pieds avant de danser.

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